Critiques : avis d'internautes: Greenland - Le dernier refuge torrent
En ces temps de disette pour les exploitants de salles de cinéma, la sortie du seul blockbuster américain de l’été (avant l’arrivée éventuelle du « Tenet » de Nolan pour fin août) va-t-elle booster le box-office ? Rien n’est moins sûr …
Pourtant, ce « Greenland » a franchement de quoi séduire ! Loin de faire uniquement dans la surenchère du destruction-porn apocalyptique à la Roland Emmerich (« 2012 », « Independance Day : Resurgence », …), le film de Ric Roman Waugh se révèle bien.
En ces temps de post-confinement, on ne peut pas dire que l’on soit gâté par les sorties estivales. Il faudra encore patienter pour découvrir « TENET » de Christopher Nolan, tout comme « Top Gun : Maverick » ou encore le premier volet de la trilogie « Kaamelott » d’Alexandre Astier.
En cette fin de mois de juillet, plusieurs films pointent cependant le bout de leur nez,.
Aussi remonté que le degré d'alcool d'une vieille bouteille de whisky écossais, Gégé Butler avait semble-t-il à cœur de faire oublier ses errements dans "Geostorm", blockbuster cataclysmique de Dean Devlin, en se confrontant à une nouvelle apocalypse à sa démesure ! Quoi de mieux pour cela que "Greenland - Le Dernier Refuge" où l'ami Clarke, une comète louche dont l'objectif est visiblement.
6.5: 2020, l’Odyssée de l’extinction
John est un bâtisseur de cathédrales ou plutôt de gratte-ciels. Il a une parfaite maitrise de la direction au dépens de son couple battant de l’aile. Mais lorsque une comète, Clarke, menace de détruire notre planète bleue, tous les différents avec son épouse Allison sont évaporés pour un objectif commun : sauver leur fils diabétique Nathan en pouvant.
Des films de météorites ou de comètes qui se dirigent vers la terre il y en a eu beaucoup depuis le fameux Choc des mondes (1951) encore plus, depuis qu'il est si facile de fabriquer un météore en 3D et de faire bouger des acteurs sur des fonds verts. Il faut dire que le côté spectaculaire dans ce film catastrophe a été mis au rencard et que le scénario tient sur un timbre poste. Pour.
Leonidas est, et restera pour Gerard Butler, le rôle de sa vie.
Même s'il a plus de moyens/mauvais films à son actif que de bons, je l'apprécie, et j'apprécie d'aller voir ses films. D'autant plus qu'il est aussi à l'aise dans les comédies romantiques que les films d'actions (c'est quand même pas commun).
Ce rôle de père face à l'apocalypse voulant sauver les siens se rapproche beaucoup de.
Greenland a une excellente idée et deux vilains défauts. L’excellente idée est de recentrer la catastrophe depuis l’omniscience du blockbuster sur la cellule familiale, puisque, exception faite d’une poignée de plans bien peu spectaculaires au demeurant, nous ne percevons le chaos qu’à échelle d’homme, conviés à partager les douleurs de trois êtres sur le point d’être.